Le 19 novembre, des politiques, scientifiques et experts en droit se sont réunis à Wellington, en Nouvelle Zélande, pour mettre au point des moyens de diminuer les taux de prises accidentelles dues aux pêches commerciales et récréatives, qui menacent les espèces marines néo-zélandaises.

Le symposium “Protéger les espèces marines : Droit, Politique et Science” s’est tenu à l’University of Otago Wellington Stadium Centre. Les participants au symposium public ont passé en revue les options pour augmenter la protection des espèces marines dans les eaux territoriales ciblées par les pêches.

Des scientifiques de l’université d’Otago et du Département de Conservation ont présenté des études récentes menées sur l’incidence des effets de la pêche sur les animaux marins. Les lois et politiques actuelles sur la gestion des prises accidentelles en relation à l’industrie des pêches ont également été examinées.

Les dauphins, phoques, lions de mer, albatros et pétrels comptent parmi les espèces victimes de l’industrie des pêches en Nouvelle-Zélande. La prise accidentelle dans les filets est une cause de mortalité importante chez les dauphins d’Hector et de Maui, espèces endémiques de Nouvelle-Zélande, respectivement reconnues comme en danger et menacées d’extinction.

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Source : Marine Connection

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