… Urgent ! Seule une mobilisation à grande échelle fera la différence !  Vidéo en rapport  (âmes sensibles s’abstenir).
Nous vous proposons de participer activement à la campagne de lutte contre les massacres de dauphins au Japon, menée par Ric O’Barry et Save Japan Dolphins.

Comment ?

*** en adressant, tout simplement, un chèque de 1 € à Réseau-Cétacés, Sandra Guyomard, 3 Rue de la Solidarité, 92120 Montrouge, France – éventuellement par virement : Réseau-Cétacés – LCL – Agence Paris Léon Blum Voltaire (435)
Code banque : 30002 – Code Guichet : 00435 – Compte : 0000009746N – Clé RIB : 72

Virement de l’Etranger : IBAN : FR68 3000 2004 3500 0000 9746 N72 – BIC : CRLYFRPP

(merci d’indiquer votre nom dans le libellé du virement).

*** en faisant suivre cette information à tous vos contacts afin qu’ils en fassent de même.

Vous pouvez aussi partager cette information sur Facebook en rejoignant Réseau-Cétacés, puis en acceptant de rejoindre l’événement « 23 000 dauphins massacrés… 1 € pour faire la différence !« 

Nous espérons qu’il se créera ainsi une chaîne de solidarité permettant de récolter suffisamment de fonds pour aider Ric O’Barry à continuer son formidable travail, lequel porte déjà ses fruits (voir infos précédentes). Les fonds ainsi récoltés seront intégralement reversés, le 10 octobre prochain, à Save Japan Dolphins.

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Photos : Mark .J Palmer & Sea Shepherd

Pourquoi ?

Chaque année, du 1er septembre au 31 mars, plus de 20 000 dauphins périssent dans d’atroces souffrances au Japon ! Traqués, par des pêcheurs sans scrupules…

La finalité de ces tueries est la consommation alimentaire. En effet, la viande de cétacé est appréciée par certains, entre autre au Japon et se vend très cher. Cependant, cette consommation s’adressant à une clientèle de luxe, sa commercialisation reste très limitée.

A ce propos, il est utile de rappeler que les eaux côtières japonaises sont excessivement polluées, par conséquent l’ingestion de la viande de cétacé demeure néfaste pour le consommateur : risque de troubles neurologiques en raison de l’importance de la concentration en mercure et substances cancérigènes dans le foie des cétacés.

Certains dauphins capturés lors de ces chasses sont également vendus aux delphinariums…

L’abattage, pratiqué de manière extrêmement violente, est mené de deux manières :

– En pleine mer : les pêcheurs transpercent la chair des cétacés avec des harpons et les hissent, à l’aide de crochets de bouchers, encore vivants, sur le bateau ;

– Sur le rivage : les pêcheurs contraignent les cétacés à s‘échouer sur la plage (en utilisant, par exemple, des appareils qui émettent un bruit sourd afin que les dauphins paniquent) et les mettent à mort en leur assénant des coups de piques dans le crâne ou en les égorgeant.

Un ancien chasseur de dauphins japonais de 54 ans, reconverti en Whale-Watcher depuis 1996 – activité qu’il reconnaît comme étant beaucoup plus rentable – a déclaré que ces tueries lui étaient devenues insoutenables et a commenté, je cite, « Le sang gicle de la gorge des dauphins, leur agonie se prolonge au-delà de six longues minutes… Ils pleurent, ils se débattent dans l’eau sanglante en nous regardant les yeux grands ouverts…»

Cet ancien pêcheur milite d’ailleurs aujourd’hui activement pour la protection des dauphins.

Merci de partager sans modération ! Merci pour les cétacés qui peuvent être épargnés grâce à votre mobilisation !

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