A l’attention de Secrétariat général de la présidence française du G20 et du G8 . La France est à l’origine de la création, en 1994, du sanctuaire austral baleinier couvrant toute l’étendue des océans entourant l’Antarctique. Le premier sanctuaire des baleines a été établi dans l’Antarctique en 1938, au sud du 40° parallèle sud entre les longitudes ouest 70° et 160°. Ce sanctuaire a été maintenu jusqu’en 1955 pour être ouvert ensuite temporairement pendant trois années afin de réduire la pression de la chasse sur les autres zones.
Cette initiative française a été largement saluée par les associations de défense de l’environnement et plus précisément les défenseurs du monde marin.
Il n’est plus nécessaire de rappeler que de nombreuses espèces animales sont gravement menacées, en danger d’extinction imminent pour nombre d’entre elles.
Les sanctuaires ne s’appliquant qu’à la chasse commerciale, le Japon continue de chasser la baleine sous des motifs dits scientifiques. Il est pourtant notoire que la viande de baleine est légalement vendue sur les étals japonais.
Le contournement des règlements internationaux et le massacre de cétacés par le Japon sont perçus comme sournois et cruel par l’opinion publique qui se passionne de plus en plus pour la cause des cétacés.
Aujourd’hui, seule l’Australie a déposé une plainte officielle au Tribunal International de Justice, contre le Japon, pour pêche illégale.
Aussi, j’en appelle à la Présidence française du G20 et du G8 pour rappeler au monde l’importance de ce sanctuaire austral, pour le protéger et ainsi contribuer à la protection des cétacés voulue par vos pairs, ainsi que par toutes les personnes conscientes de l’importance de la survie de ces mammifères marins.
Pour signer la pétition : cliquer iciPlus d’informations : La chasse baleinière… (dossier complet en téléchargement)