Nous vous avons récemment informés que Valérie & Sandra – de l’équipe Réseau-Cétacés – viennent d’être intégrées officiellement au programme des Cove Monitors du Ric O’Barry’s Dolphin Project et seront présentes pour la prochaine saison de chasse aux dauphins à Taïji (Japon). De ce fait, et suivant les règles du Dolphin Project, l’appel aux dons – initialement créé sur Leetchi – a été transféré sur la plateforme officielle du Dolphin Project (voir le lien ci-dessous). La cagnotte Leetchi va donc être fermée et nos donateurs vont recevoir une information de clôture.
A ce jour, 827 euros ont été collectés sur les 3150 euros nécessaires à la bonne réalisation du projet. Nous comptons sur vous, sur vos dons – quel qu’en soit le montant (1 euros, 10 euros ou plus) – et sur vos partages pour nous permettre d’atteindre l’objectif au plus vite.
Vous pouvez donc faire un don :
- en Dollar, directement auprès du Dolphin Project
- ou en Euro auprès de Réseau-Cétacés
Attention cependant, les dons effectués auprès du Dolphin Project ne pourront pas faire l’objet d’un reçu de don, l’association se situant hors de France. Les dons effectués auprès de Réseau-Cétacés feront bien l’objet d’un reçu fiscal.
Merci de votre mobilisation 🐬
Rappel :
Ceux qui nous suivent le savent, l’équipe de Réseau-Cétacés est très impliquée dans l’action du Ric O’Barry’s Dolphin Project pour la sauvegarde des dauphins au Japon :
– Relais quotidien de l’actualité liée à cette chasse.
– Organisation d’une collecte de fonds annuelle pour soutenir l’équipe terrain, les « Cove Monitors ».
– Distribution gracieuse de DVD « The Cove, la baie de la Honte » dans les établissements scolaires, aux portes des delphinariums et dans toute occasion de rencontres avec des célébrités.
Depuis quelques mois, Réseau-Cétacés a « mis de côté » chaque euro issu des ventes de la Boutique Réseau-Cétacés ainsi que vos dons. Au total, 1000 euros ont été collectés. Le coût du séjour de 2 semaines d’un binôme sur le terrain se chiffrant à environ 4150 euros (avion + train, location de voiture, essence et hébergement), nous avons encore besoin d’un peu plus de 3000 euros afin de nous permettre de rejoindre Taïji pour la saison de chasse 2017-2018.
Pourquoi est-il important que Réseau-Cétacés se rende sur place ?
La décision relative à ce déplacement sur le terrain n’a pas été facile à prendre car il s’agit d’une réalité difficile à affronter… Pour autant, il nous parait important de franchir ce pas pour :
– Renforcer les équipes des Cove Monitors du Ric O’Barry’s Dolphin Project. Plus nous serons nombreux à postuler, mieux la saison de chasse sera documentée.
– Que notre statut de « témoins directs » donne plus de poids à nos mots afin de convaincre l’opinion publique et les autorités compétentes d’oeuvrer pour la protection des dauphins au Japon, et pour la fin des spectacles de cétacés dans les parcs.
– Que, grâce à ce séjour sur le terrain, se crée une vague de solidarité en France (et en Francophonie 🙂) après avoir convaincu des célébrités de nous relayer via les réseaux sociaux.
– Informer les médias francophones en temps réel de ce qu’il se passe à Taïji.
La chasse aux dauphins au Japon :
Chaque année, au Japon, le gouvernement autorise la capture en mer de plusieurs milliers de petits cétacés. Une majorité des individus capturés est mise à mort – dans un climat de violence extrême – avec la complicité des delphinariums ! Un documentaire, diffusé en France par Luc Besson, intitulé « The Cove, la Baie de la Honte » lève le voile sur ces massacres…
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La finalité de ces captures est la consommation alimentaire…
En effet, la viande de cétacé est consommée au Japon, par une minorité cependant. Rappelons, à ce propos, que les eaux côtières japonaises sont excessivement polluées ; par conséquent l’ingestion de viande de cétacé demeure néfaste pour le consommateur en raison du taux de polluants qu’elle contient !
… Et l’approvisionnement des delphinariums :
L’industrie de la captivité, en subventionnant largement ces battues, leur permet d’exister. En effet, les chasses à des fins purement alimentaires ne seraient pas rentables. Subventionner les massacres, permet aux delphinariums de sélectionner certains individus afin de les exporter dans le Monde entier.
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